Catalogue Fictions

Jouer avec le feu, adapté du roman de Laurent Petitmangin Ce qu’il faut de nuit, confronte un cheminot lorrain à la dérive identitaire de son fils aîné. Un drame familial captivant.

Walter Salles subjugue littéralement les spectateurs dans une fresque familiale vertigineuse qui dissèque avec force les ravages de vingt années de dictature militaire au Brésil.

Maria, la soixantaine, aide des personnes plus âgées qu’elle. Tirant le diable par la queue, elle ne se résout pas à sa précaire condition et, par-ci par-là, vole quelques euros à tous ces braves gens dont elle s’occupe avec une dévotion extrême, et qui pour cela l’adorent. Mais une plainte pour abus de faiblesse va venir tout bouleverser… Un film de Robert Guédiguian Avec Ariane Ascaride , Jean-Pierre Darroussin , Gérard Meylan , Grégoire Leprince-Ringuet , Marilou Aussilloux , Lola Naymark ,

Dans ce thriller prenant adapté d’un roman de Robert Harris, Ralph Fiennes incarne superbement un cardinal plongé dans les affres de l’élection d’un nouveau pape.

Paris, 1896. Sarah Bernhardt est au sommet de sa gloire. Icône de son époque et première star mondiale, la comédienne est aussi une amoureuse, libre et moderne, qui défie les conventions. Découvrez la femme derrière la légende. Disponible en version SME à la location Revue de presse L'Humanité : Sandrine Kiberlain trouve, dans « Sarah Bernhardt : la divine », l’un de ses rôles majeurs et remet en lumière, pour le grand public, une femme en avance sur son temps.

Le premier long métrage d'Anne-Sophie Bailly, "Mon inséparable", traite de la parentalité des personnes en situation de handicap.

Stan, écrivain polonais désabusé et sans le sou, est hébergé à Paris par Barbara, son ex-compagne aujourd’hui remariée. A travers elle, il fait la connaissance de militants de gauche sur le retour. Le croyant suicidaire, ils fomentent pour lui une mort sublime, en forme de coup d’éclat politique, dans le but de lui conférer la célébrité et, accessoirement, de faire décoller la vente de ses livres.

Tiré du récit authentique d'Artur London, membre du Parti communiste tchécoslovaque contraint d'avouer de faux crimes et de dénoncer amis et collègues, L'Aveu stigmatise les pratiques staliniennes au début des années 50.