Synopsis
Le cinéma ment, pas le sport…
Au début des années 80, le tennisman John McEnroe est copié dans toutes les écoles, étudié sous toutes les coutures, filmé sous tous les angles. Roland Garros 84 : il a tutoyé la perfection, et pourtant…
Plongée dans le Roland Garros du début des années 80, en compagnie du numéro un mondial John McEnroe. Les rushes d’un film d’instruction tourné en 16mm révèlent de façon inattendue les malentendus et autres problèmes de cohabitation entre, d’un côté un champion perfectionniste et de l’autre, des arbitres perfectibles, un public avide de spectacle et une équipe de tournage décidée à capter les moindres faits et gestes du génial et tempétueux joueur américain.
Revue de presse
Les Cahiers du cinéma : "Cette fascinante étude de caractère nous fait entrer dans l’esprit du génie : à savoir une sublimation incompréhensible de contradictions."
Culturoping.com : "Plus encore qu’un film sur les courts de tennis, le brillant documentaire de Julien Faraut est un cours magistral de cinéma."
La Septième Obsession : "Le film est donc un petit traité amoureux et galvanisant, nerveux et tendu, sur un artiste méticuleux au possible, qui considère le sport comme un art, comme un endroit centripète et victorieux de son plaisir intime."
Positif : "L’Empire de la perfection repose sur un choix d’images d’archives inédites d’une puissance stupéfiante : rarement en effet les joueurs ont été filmés d’un point de vue si proche."
Télérama : "Julien Faraut parvient pourtant à créer du suspense, grâce à ses ralentis qui suspendent le temps, ses effets de réverbération sonores, sa bande musicale qui alterne entre rock agressif et mélodie de western. Ce n’est plus un match de tennis, c’est une tragédie…"
Fiche technique
Réalisation, Image : Julien Faraut
Son : Léon Rousseau
Montage : Andrei Bogdanov
Musique : Serge Teyssot-Gay
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