Synopsis
Un portrait de l’enfant terrible du folk-rock irlandais, Shane MacGowan, le chanteur des Pogues.
Périple cinématographique dans la vie de Shane MacGowan, le film de Julien Temple « Crock of Gold » détaille l’existence explosive de Shane, de sa jeunesse en Irlande, aux rues mal famées de Londres jusqu’à la scène punk. Nous découvrons les passions de MacGowan, son humour et sa profonde connaissance de la musique, de l’histoire, de la spiritualité et de la culture populaire. Car c’est l’histoire de Shane. Une vision du monde à travers les yeux du grand poète punk lui-même et du cercle intime d’amis proches et de membres de la famille.
Revue de presse
Libération : Temple réussit assez habilement son coup, dessinant à l’arrivée un portrait dense, profond et attachant du personnage qui a rarement été montré de manière aussi fascinante. Et si les écueils tartignoles du rockumentaire ne sont pas tous évités – mythologie de bazar, hégémonie délirante, le tout culminant dans un duo en fauteuil roulant avec Nick Cave très compliqué à regarder – on peut compter aussi sur quelques moments inespérés, comme cette séquence évoquant le délitement des Pogues.
Marianne : Le film de Temple, avec la collaboration d’un Shane MacGowan, désormais handicapé, mais toujours doté d’un caractère imprévisible, retrace les grandes étapes de la vie de son « héros » et revient avec pertinence sur la singularité des Pogues dans l’univers artistique, social et politique de son époque.
Télérama : Julien Temple (dont on se souvient essentiellement pour la comédie musicale Absolute Beginners) signe un hommage singulier, à la fois sombre et euphorisant.
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