Synopsis
La ville est tranquille, c’est l’histoire...
... de Michèle, ouvrière à la criée aux poissons, qui ne vit que pour sauver sa fille de la drogue...
... de Paul qui trahit ses amis dockers en grève pour devenir chauffeur de taxi...
... de Viviane, musicienne qui ne supporte plus la gauche réaliste que représente son mari...
... d’Abderamane, transformé par la prison, qui cherche à aider ses frères...
... de Claude, que des militants d’extrême droite sont les derniers à écouter...
... de Gérard, dont le rapport à la mort, la sienne et celle des autres, fait mystère...
... d’Ameline, dont le corps affiche la santé qu’elle voudrait insuffler au peuple en lui rappelant ses origines prémonothéistes...
Des histoires singulières, enchevêtrées, qui se déroulent dans le même espace, Marseille, en l’an 2000, et qui, face à la montée de l’insignifiance et de la confusion attestent que "la ville n’est pas tranquille".
Avec Ariane Ascaride, Véronique Balme, Pierre Banderet, Jean-Pierre Darroussin, Gérard Meylan, Julie-Marie Parmentier, Alexandre Ogou...
Revue de presse
L’Humanité : "Guédiguian se déchaîne, au sens littéral du terme. Il entend développer, tenir, nourrir une colère froide, jusqu’au bout, sans concession ni discours."
Aden : "C’est une tragédie. Qui nous frappe de plein fouet, car on le sent bien : elle n’est pas factice. Cela se passe, et cette tragédie est ordinaire."
Cinopsis.com : "Ce film est l’un des rares qui a su s’approcher de la réalité sociale avec autant de justesse et de réalisme en dépassant l’affectif."
Fiche technique
Scénario et dialogues : Jean-Louis Milesi, Robert Guédiguian
Image : Bernard Cavalié
Décors : Michel Vandestien
Montage : Bernard Sasia
Son : Laurent Lafran
1er assistant réalisateur : Jacques Reboud
Maquillage : Maïté Alonso
Régie : Bruno Ghariani
Direction de production : Malek Hamzaoui
Mixage : Gérard Lamps
Costumes : Catherine Keller
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