Synopsis
Pendant un week-end caniculaire, dans la pesante atmosphère de la banlieue viennoise, entre l’enfer des installations urbaines, les autoroutes, les complexes immobiliers, les supermarchés, six histoires dramatiques s’entrelacent et montrent que personne ne saurait résister à la lourde tension de cet été étouffant.
Revue de presse
Chronic’art.com : "Avec Dog days, catalogue presque exhaustif des petites et grandes perfidies humaines, Ulrich Seidl atteint des abymes de noirceur. Un cauchemar d’autant plus insoutenable qu’il paraît bel et bien réel."
L’Humanité : "Si certains n’y ont vu qu’une vaste provocation, le jury du dernier Festival de Venise a eu le bon goût de lui attribuer son grand prix."
Les Inrockuptibles : "Entre sordide et hyperréalisme, Ulrich Seidl observe la médiocrité de ses contemporains banlieusards."
Les Cahiers du cinéma : "Le film le plus détestable de l’année."