Synopsis
Portrait poétique et politique d’une banlieue ouvrière en mutation, De Cendres et de Braises nous invite à écouter les paroles d’habitants des cités des Mureaux, près de l’usine Renault-Flins. Qu’elles soient douces, révoltées ou chantées, au pied des tours de la cité, à l’entrée de l’usine ou à côté d’un feu, celles-ci nous font traverser la nuit jusqu’à ce qu’un nouveau jour se lève.
Revue de presse
Libération : "[...] au beau milieu de cette poésie rassurante, académique dans deux sens du terme, beauté et université, De cendres et de braises arrache aux cités qu’il arpente de vraies étincelles, quelques éclats de voix bons à entendre, et plusieurs images pas si fantômes."
Positif : "Le film fait moins parler qu’il ne laisse s’exprimer des braises qu’on sent et comprend éruptives."
Télérama : "Un poème politique et poétique où couve le feu de la révolte."
Le Monde : "Au-delà de la perspective historique, la réussite du film tient au regard qu’il pose sur la banlieue. La photographie d’un noir et blanc lustré, la primauté donnée aux ambiances nocturnes, les volutes rêveuses d’un free jazz en guise de bande son restituent à cette forme d’urbanisme une épaisseur esthétique que, d’ordinaire, on ne lui prête guère."
Fiche technique
Auteur, Réalisateur : Manon Ott – en collaboration avec Grégory Cohen
Image et son : Manon Ott et Grégory Cohen
Montage : Pascale Hannoyer
Montage son et mixage : Jocelyn Robert
Musique originale : Akosh S.
Étalonnage : Gadiel Bendelac
Lire la suite