Synopsis
Ouverte il y a 30 ans, en plein Quartier Latin, la quincaillerie du père du réalisateur est un haut lieu de sociabilité. C’est aussi l’ancien terrain de jeu de son enfance. Bricomonge va fermer. À l’heure de l’inventaire et des comptes, le réalisateur accompagne son père dans les derniers moments du magasin. Et il cherche à comprendre ce qui a amené le militant maoïste qu’il était dans les années 60-70, intellectuel diplômé, à vendre des clous.
Revue de presse
Les Cahiers du cinéma : "Cette évocation avec humour et mélancolie d’une époque en train de mourir devant nos yeux a cette vertu de nous enjoindre à demeurer attentifs aux petites mutations du quotidien par lesquelles s’exercent les mouvements généraux."
Les Inrockuptibles : "C’est inévitablement au cinéma d’Alain Cavalier, à son goût pour ces lieux en voie d’extinction […], que l’on pense devant ce beau premier film."
Positif : "On ne trouvera donc pas dans ce film le moyen d’y voir plus clair dans ce genre de dédoublement de personnalité, courant chez les soixante-huitards, et on le regrette. En revanche, on apprécie la manière dont Samuel Bigiaoui filme son père, affectueusement, mais avec assez de recul pour permettre aux spectateurs de s’en faire chacun son idée, plus ou moins flatteuse."
FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Samuel Bigiaoui
Image : Samuel Bigiaoui
Son : Raphaël Girardot et Jean-Marc Schick
Montage : Saskia berthod
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