Synopsis
Taghi, Homa et Mazyar ont été arrêtés et interrogés par le régime iranien. Tous les trois témoignent avec leurs corps, avec leurs gestes et racontent ce que signifie résister, ce que signifie craquer. Y a-t-il un espoir que le tortionnaire renoue un jour avec sa conscience ?
Revue de presse
Culturopoing.com : Là où Dieu n'est pas forme un diptyque avec Mon pire ennemi (...) Les deux œuvres, nées d'un même geste, abordent le même sujet et reposent sur des choix de mise en scène semblables. Chacune pourtant apporte son propre vertige. Et le choc reste intact. (...) Les images et les questions qui les parcourent hantent longtemps.
Les Fiches du cinéma : Porté par un dispositif sobre et percutant, M. Tamadon donne la parole à trois Iraniens qui furent persécutés par le régime des mollahs. En reconstituant les conditions de leur détention, il livre un travail magistral, au plus près des mécanismes de la tyrannie.
Les Cahiers du cinéma : Là où Dieu n’est pas et Mon pire ennemi rompent à plus d’un titre avec Bassidji (2009) et Iranien (2014), où Mehran Tamadon initiait un dialogue avec des miliciens puis des mollahs défenseurs de la République islamique. Devant la caméra, cette fois, plus d’adversaires politiques, mais des Iraniens exilés après avoir subi interrogatoires et tortures dans les geôles du régime.
Le réalisateur
Festival
Lire la suite