Un chat perdu, une grenouille géante volubile et un tsunami aident un attaché commercial sans ambition, sa femme frustrée et un comptable schizophrène à sauver Tokyo d’un tremblement de terre et à redonner un sens à leurs vies.
Revue de presse
Ecran large : Saules aveugles, femme endormie est une expérience parfois déconcertante, qui à l'instar des personnages demande de lâcher prise pour trouver le sens qui manque a priori.
Les Echos : Son scénario virtuose parvient à tresser des histoires fantastiques en souplesse mais le premier long-métrage de Pierre Földes saisit surtout par sa beauté graphique, la grâce d'un trait aérien et sensuel, d'un dessin sans cesse changeant.
Télérama : Mais, parmi les indices qui flottent dans ce film singulier, fidèle à Murakami, c’est un aphorisme de Nietzsche qui s’impose, comme belle loi du cinéma d’animation : « La plus grande sagesse, c’est de n’avoir peur de rien. »