Synopsis
Max, sorcier des rues, sillonne, lui, sans relâche les confins de la ville qui semble ancrée au plus profond de son être.
Des entrailles de la Terre aux 3600 mètres d’altitude de la capitale bolivienne, le chemin d’Elder, le damné, croisera celui de Max dans une symphonie urbaine rédemptrice.
Revue de presse
L'Humanité : Mais le leitmotiv, c’est l’influence du cinéma muet formaliste, notamment des essais documentaires de Dziga Vertov, qui partait de la réalité pour fabriquer un univers plastique. Cela se manifeste en particulier dans l’impressionnant kaléidoscope final qui clôt cette œuvre à la fois ethnique et avant-gardiste. Il faudrait sans doute plusieurs visions pour pouvoir en épuiser la richesse.
Les Cahiers du cinéma : Kiro Russo abolit d’un même mouvement toutes les frontières : entre le décor et les personnages, le réel et l’imaginaire, l’intérieur et l’extérieur, le sens et le sensible. Pour mieux, du bout des zooms, faire remuer le cinéma.
Le Monde : Un objet fascinant aux contours énigmatiques.
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